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Planification fiscale

Publié le Mis à jour le

7 mythes à déboulonner sur le REER et le CELI

Certains mythes sont tenaces, surtout lorsqu’il est question de REER et de CELI.

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Être mal informé sur les principaux avantages de ces deux véhicules d’épargne est un obstacle majeur. Services d’investissement FÉRIQUE vous aide à y voir plus clair en déboulonnant 7 mythes qui ont la vie dure.

Mythe 1 - Les REER et CELI sont des placements

Ce sont des régimes d’épargne enregistrés auprès de l’Agence du revenu du Canada permettant de faire fructifier votre argent à l’abri de l’impôt. En d’autres mots, ce sont des véhicules de placement offrant des avantages fiscaux. 

Tant dans un REER ou un CELI, vous êtes libres de faire le type de placement de votre choix, que ce soient des achats d’action en bourse ou des investissements dans des fonds communs de placement.

Mythe 2 - Le REER peut attendre, je suis loin de la retraite

Le Régime enregistré d’épargne-retraite (REER), comme son nom l’indique, a pour principal objectif de financer votre retraite. Si vous êtes encore loin du moment où vous cesserez vos activités professionnelles, est-ce que cela veut dire que d’épargner dans un REER peut attendre?

En matière de placement, le temps est votre plus puissant levier pour atteindre l’autonomie financière. Grâce au rendement composé, c’est-à-dire le rendement que vous faites sur vos rendements passés, votre épargne peut faire boule de neige. Pour arriver au même montant d’épargne, une personne qui commence à épargner à 25 ans devra cotiser beaucoup moins que celle qui commence à 40 ans.

Vous avez de la difficulté à visualiser toute la force du rendement composé dans le temps? Voyez par vous-mêmes grâce à l’outil de planification FÉRIQUE.

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Mythe 3 - Le REER est peu avantageux parce que les retraits sont imposés

Tôt ou tard, il faut payer de l’impôt. C’est vrai. Mais c’est mal comprendre le fonctionnement du REER et de la fiscalité de croire que le REER n’est pas intéressant.

Cotiser à un REER vous permet de faire un report d’impôt. Vos cotisations au REER diminuent votre revenu imposable et permettent d’obtenir une réduction de votre impôt à payer en fonction de votre taux marginal d’imposition. Vous devrez ajouter les retraits à votre revenu au moment du retrait. Avec une bonne planification vous pourrez potentiellement profiter d’un taux marginal plus faible que celui obtenu pour votre réduction.

Parler d’un « report d’impôt » peut donc être réducteur puisque vous pourriez payer moins avec une bonne planification lors du retrait. De plus, en réinvestissant vos remboursements dans vos REER, vous augmentez votre épargne sans effort additionnel en plus d’obtenir des rendements à l’abri de l’impôt.

Mythe 4 - Je peux retirer et ajouter de l’argent de mon CELI comme je veux

Le compte d’épargne libre d’impôt (CELI) est réputé pour sa flexibilité. L’absence d’imposition sur les retraits en fait un bon instrument d’épargne pour financer de nombreux projets à court, moyen ou long terme.

Mais des décaissements nombreux et mal planifiés, en plus de vous priver du rendement composé, peuvent vous réserver de mauvaises surprises. Il faut savoir que la valeur des sommes retirées de votre CELI s’ajoute à votre plafond de cotisation lors de l’année suivante. Si vous perdez le fil des montants retirés et investis, vous pourriez dépasser votre plafond de cotisation et devoir payer une pénalité fiscale de 1 % sur les montants excédentaires placés dans le CELI.

De plus, l’Agence du revenu du Canada et Revenu Québec pourraient croire que vous utilisez votre CELI pour des activités professionnelles. Or, le CELI est un véhicule de placement exclusif aux particuliers.

Mythe 5 - Les sommes épargnées dans un CELI sont imposables au décès

Advenant votre décès, les sommes accumulées dans votre CELI ne sont pas imposables et vos héritiers peuvent en bénéficier. Cependant, à partir du décès et jusqu’au roulement, les rendements sont imposables pour la succession.

Mythe 6 - Il faut un revenu d’emploi pour cotiser à un CELI

Si le plafond de cotisation au REER est fixé en fonction du revenu brut, le plafond de cotisation au CELI en est indépendant.

Tout résident canadien âgé de 18 ans et plus peut y cotiser, peu importe s’il a un revenu ou non. Les droits de cotisation annuels sont déterminés par le gouvernement canadien chaque année. En 2022, le plafond est de 6 000 $.

Si vous aviez 18 ans ou plus lors de l’implantation de ce véhicule de placement en 2009, votre plafond d’imposition maximale en 2023 est de 88 000 $.

Mythe 7 - Ouvrir un REER ou un CELI, c’est compliqué

Avec les nombreuses plateformes et applications à votre disposition, épargner n’aura jamais été aussi simple. S’ouvrir un REER et un CELI prend peu de temps et vous pouvez effectuer des prélèvements automatiques de cotisation (PAC) afin de faciliter votre épargne mensuelle.

Chez Services d’investissement FÉRIQUE, non seulement vous bénéficiez d’une plateforme et d’une application conviviales pour gérer vos placements, mais vous êtes à un seul coup de fil d’obtenir l’assistance d’un conseiller et représentant en épargne collective. Aucun rendez-vous nécessaire!

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